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De la Musique pendant que tu Ecris ?
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Ethan McLawen

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Ethan McLawen Empty
MessageSujet: Ethan McLawen Ethan McLawen EmptyDim 20 Nov - 1:56

I – Identité

Nom : McLawen
Prénom : Ethan
Age: 43 ans
Famille : Rebelle
Nationalité : Français

II - Descriptions :

Description physique :

Je ne suis pas spécialement beau, vous savez. Chloé l'était. La plus belle femme de l'Univers. Lily aussi était magnifique, ayant hérité des traits de sa maman et non des miens. Mais moi... je suis juste banal. Je n'ai ni leur rire ni leur sourire.
Mes cheveux sont bruns, tout comme mes yeux d’ailleurs. D’un brun banal et inintéressant. Mais qu’importe mon physique ne m’intéresse guère à présent. Tout ce que je veux, c’est parvenir à ma vengeance.
Et pour cela, il fallait me muscler. Ce que j’ai plutôt bien réussis en trois ans de pompes et autres machines de musculation. J’ai mis de côté mon cerveau scientifique pour me concentrer uniquement sur ça : devenir plus fort. À présent du haut de mon mètre quatre-vingt-dix, je sais que je peux paraître effrayant dans le long manteau noir dans lequel je me complais depuis mon deuil. Mais en fait, c’est le but. Paraître effrayant pour que tous les membres de la Famille aient ce même air de stupeur devant la mort que celui qu’a eu ma fille.

Description de caractère :

On ne peut pas dire que je suis bête. Après tout les longues études scientifiques que j’ai fait le prouve. On ne peut pas non plus dire que je suis violent. Enfant je préférais user des mots que des poings pour me faire entendre. On ne peut pas dire que je suis solitaire. Après tout, j’ai beaucoup d’amis.
Voilà ce que je vous aurais dit sur moi si vous m’aviez posé la question il y a trois ans. Mais maintenant, c’est différent. Maintenant je n’essaie plus de réfléchir avant de faire quoi que ce soit ; je fonce dans le tas telle une bête probablement très bête. Maintenant j’use de mes poings, souvent, toujours, tout le temps et pour n’importe quelle raison, abandonnant totalement les mots pour préférer voir le sang couler. Maintenant j’ai renié mes amis et ma famille, les éloignant de ma nouvelle vie emplie de cadavres.
Alors oui je suis bête. Oui je suis violent. Oui je suis solitaire. En un mot, je suis un rebelle. Et je suis surtout un homme qui souffre et qui n’a qu’une envie.
Se venger.

III - Histoire :
Histoire :

C'était le 25 novembre 1981. Le temps était gris et les feuilles d'automne tourbillonnaient dans le vent. À l'époque, je n'avais que 13 ans et certains de mes souvenirs sont flous, mais je n'oublierai jamais ce que j'ai vu en entrant dans la cour de mon collège.
Une jupe jaune qui danse comme les feuilles, des cheveux roux qui sautent dans tous les sens sans aucun ordre ni discipline, un sourire encore mieux dessiné que les étoiles et un rire qui s'élance dans le ciel.
Mon coeur a tressauté.
Cette fille, je ne l'avais jamais vue avant. Mais comment ne pas voir l'évidence, comment louper un rayon de soleil en pleine tempête ? Étais-je aveugle avant ce 25 novembre ? Voilà ce que je me suis demandé en la contemplant rire au milieu de la cours. Ou peut-être aussi qu'elle était nouvelle. Mais la réponse n'avait aucune importance, car au moment où la cloche résonnait, j'ai su.
Elle était tout ce que je voulais.

« La vérité est amour tout le reste est illusion. »

Toc. Toc. Toc.

J'ai relevé la tête de mon cahier de maths, abandonnant derrière moi multiplication et addition. Dans mon bide, mon coeur a tourné cinq fois alors que dans ma tête mon cerveau essayait de me résonner.
Ce n'est pas possible, ce n'est pas elle.
La porte de la classe s'est alors ouvert dévoilant M. Jacquet, notre proviseur. Derrière lui une fillette à jupe jaune un immense sourire sur les lèvres observait la classe de ses grands yeux marrons. Le proviseur s'est penché vers notre professeur de mathématique qui a hoché la tête avant d'indiquer à la nouvelle venue une place libre.
Celle à côté de moi par exemple.

- Salut, je m'appelle Chloé.

J'ai balbutié mon prénom me sentant définitivement con devant un être aussi charmant. Je suppose que dès le début elle a dû me prendre pour un imbécile et, après tout, elle n'avait pas tort. D'un haussement d'épaule elle a détourné le regard alors que ses yeux marrons se fixaient sur le tableau recouvert de chiffres devant nous. Sans doute que pour elle les maths devaient être plus important que son pitoyable voisin incapable d'enchaîner deux mots à la suite. Mais pour moi le plus important, c'était elle.

« On ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. »

C'était le 18 décembre 1984. Je me souviens très bien qu'il neigeait, des flocons blancs, lourds et épais. Nos pas s'enfonçait dans cette neige épaisse en y laissant nos marques l'espace de quelque secondes avant de s'effacer, recouverts par la neige nouvelle, encore plus drue, encore plus belle. À mes côté une fille rousse au sourire grand comme le monde éclata d'un rire qui explosa jusque dans les étoiles.

- On fait la course jusqu'à l'arrêt de bus, Ethan ?

Et sans même attendre de réponse elle s'envola, survolant la neige jusqu'au petits abris 200 mètres plus loin. Dans un soupir je la suivie, sachant d'avance que j'allais perdre. Au fil des trois années qui nous avaient été offertes ensemble, j'avais appris à connaître Chloé et a ne plus rougir au moindre de ses sourires. Je connaissais ses défauts comme elle connaissait les miens. Par la force des choses, par les longues heures de maths et de français assis l'un à côté de l'autre, par ses après-midi à l'arrêt de bus ou nous patientions parfois durant une demie heure, je pouvais me vanter de la connaître mieux que personne. C'est pour ça aussi que je savais que mes foulées peu entraînées ne rattraperaient jamais celle qui, trois ans d'affilée, avait remporté le prix d'athlétisme du collège. Chloé courait plus vite que le vent, plus vite que le temps.
Évidemment, elle a gagné.
Lorsque je suis enfin arrivé sur la ligne d'arrivé imaginaire, les joues rougit par le froid et l'effort, Chloé n'était même pas essoufflée. Elle a éclaté de rire en me voyant si fatigué avant de me faire remarquer avec tout le sérieux du monde :

- J'ai gagné Ethan. Encore une fois.
- C'est parce que je te laisse gagner.
- Quel gentleman ! Toujours est-il que tu as perdu et que je mérite bien une récompense.

J'ai levé les yeux, intrigué par ses mots. Une récompense ? Que voulait-elle ? Je n'avais sur moi que 20 francs et une demie branche de chocolat. Ce n'était pas beaucoup, mais je ne pouvais rien faire d'autre...

- Oui, une récompense...

Et soudain, avant que j'aie eu le temps de bouger, elle s'est penchée vers moi pour m'embrasser et j'ai eu l'impression que mon coeur explosait.
C'était le 18 décembre 1984, à l'abris de la neige grâce à un arrêt de bus, que nos lèvres se sont effleurées pour la première fois. Et c'était magique.

« Pourquoi tu me l'as pas dit ?
Pas que tu était con, ça je le savais, mais que tu étais amoureux ?
Que Clélia était la bonne, celle qui t'avait chouré le coeur et qui le gardait? »

1er avril 1992. Chloé serra ma main un peu plus fort, la fatigue déteignant son visage. C'était la troisième fois en un mois qu'elle se retrouvait dans ce lit d'hôpital. La troisième fois. Je rêvais de me réveiller à ses côté dans ce petit deux pièces qui abritait notre jeunesse. Je rêvais que l'amour de ma vie se relève en éclatant de son rire si particulier et en me lançant d'un air ravi "poisson d'avril, je t'ai bien eu, hein ?". Mais je doutais que cela n'arrive... Chloé était condamnée. Trop malade pour vivre alors qu'elle ne désirait que cela. Le médecin qui nous l'avait annoncé était une jeune femme blonde à la voix douce comme le miel. Ses paroles avaient coulé en moi comme les larmes qui inondaient mon visage. Ils ne lui laissaient pas plus de deux ans. Deux ans à vivre et à souffrir.

- Ethan, fais moi un enfant.

Je l'ai regardé murmurer ses mots sans vraiment comprendre. Chloé n'avait jamais désiré d'enfant, c'était moi qui lui en avait proposé un il y a deux ans. Elle m'avait regardé du haut de son sourire avant de laisser tomber quelques mots : "Je ne veux pas. J'aurais trop peur que cet enfant te vole l'amour que tu as pour moi. C'est égoïste, mais c'est comme ça. Je te veux pour moi toute seule". Depuis cette nuit là on en avait plus parlé, mais moi je l'avais encore plus aimée. Ses mots étaient tombés justes : nous n'avions pas besoin d'enfant. Notre amour nous suffisait.

- Chloé... Ça te tuerait.

Un pâle sourire s'est dessiné sur ses lèvres.

- Je mourrai de toute façon. Alors que ce soit dans neuf mois ou dans deux ans... Quelle différence si ce n'est qu'au moins je souffrirai moins. Fais moi un enfant Ethan. Notre enfant.

Alors j'avais accepté. Sans poser de question, sans vraiment comprendre. Ce n'est que neuf mois plus tard, lorsque je l'ai vu mourir sur la table d'accouchement, qu'elle a trouvé la force de me murmurer ses derniers mots :

- Cet enfant me tue peut-être, mais toi il te permettra de vivre. Et ça, c'est le plus important.

Et elle avait raison.

« -Shaé... Je... je ne peux plus exister sans toi.
-Pourquoi?
Question chuchotée.
-Parce que...
Il se tut, effrayé par l'univers inconnu qui s'étendait devant lui. Incapable d'avancer. Incapable de se livrer davantage. Elle lui sourit tristement.
- Trois mots difficiles à prononcer, n'est ce pas?
-Shaé, tu...
- Attends. J'avais six ans la dernière fois qu'on me les a dit, Nat. Six ans. Trois mots ont disparu dans un accident de voiture et un gouffre s'est creusé en moi. Terrifiant de solitude. Trois mots auraient suffi à le combler, mais personne ne les a plus jamais prononcés et la Chose s'est installée. Tu sais quoi, Nat?
Elle poursuivit sans attendre :
-Quand j'aurais un enfant, je les lui chanterai, je les lui réciterai comme un poéme infini, un antidote contre les tourments de la vie, une déclaration de bonheur. Je me lèverai la nuit pour les lui murmurer, bercer son sommeil et chasser ses cauchemars. Et quand il sera loin, Nat, quand il sera loin, je les lancerai vers le ciel pour que le vent les lui apporte. Parce que, sans ces trois mots, nous ne somme rien. »

Nous étions le 7 mai 1998, ma fille Lily avait 5 ans. Trois ans qu'elle était née, trois ans que Chloé était morte. Si la douleur m'avait semblé, au début, insurmontable, c'était dans les toutes petites main de mon bébé que j'avais trouvé la force de survivre. Comme me l'avait murmuré sa mère avant de mourir, Lily était ma raison de vivre. De ne pas tenter de mourir pour rejoindre ma défunte amante dans la mort. Elle était belle ma fille. Elle avait les traits de sa mère et, parfois, dans un sourire ou dans un rire, elle parvenait même à la faire revivre.
Elle me rendait heureux et malheureux.
Mais surtout, je l'aimais.
Les jours de la semaine je travaillais comme scientifique pour un laboratoire de recherche, mais tous mes weekend lui étaient destinés. Et tous les dimanches nous avions notre petit rituel. On allait au parc jouer sur les balançoires et les chevaux de bois, puis on allait au marchand de glace. Elle prenait chocolat et moi pistache. Seul la neige et le froid arrivaient à nous enfermer dedans loin de notre tradition pour nous réchauffer devant un bol de chocolat chaud.
Mais en ce 7 mai 1998, il faisait un soleil printanier à réchauffer les coeurs. Après notre tour au parc, nous nous baladions autour d'un lac, nos cornets de glace dans une main tout en regardant les canards nager. Sa petite main libre était serrées dans la mienne, s'y accrochant comme on s'accroche à une vie. Et pour rien au monde je ne l'aurais lâchée.
Mais c'est elle qui a soudain décroché, libérant sa main pour me désigner un cygne blanc immensément grand de l'autre côté du lac. J'ai regardé les yeux éblouis de ma fille alors qu'elle regardait le magnifique oiseau. Puis soudain elle a poussé un cri et dans ses yeux je n'ai vu plus que de la stupeur. Me tournant vers le bout du lac ce n'était plus un cygne que je voyais, mais un homme. Ce dernier, ayant entendu le cri de ma fille s'était tourné vers nous et son regard s'enchaîna un instant dans le mien.
C'est un regard de fou.
Un regard animal.

« L'être humain est le seul animal dont j'ai réellement peur. »

Pendant dix ans j'avais travaillé sur ce projet. Dix longues années pour comprendre comment cet homme avait pu se transformer en cygne. Et pendant presque dix ans j'avais fait chou blanc. Jusqu'au jour où j'entendis parler d'une légende. Comme il y a des légendes sur les vampires ou les loups-garou, il y avait une vieille légende qui évoquait sept Familles.
J'ai immédiatement orienté mes recherches vers là. Ce n'était pas très scientifique de suivre une légende, mais c'était ma seule piste... et je voulais comprendre. Pour Lily. Car même si ma fille n'en avait plus jamais reparlé, elle refusait désormais de se trouver au bord d'un lac ou d'une piscine. À tel point que chaque semaine je devais faire un mot à ma fille de 15 ans pour que l'école lui épargne de devoir affronter ses peurs en plongeant un orteil dans l'eau.
La légende des sept Familles était un fil maigre et qui me semblait terriblement cassable. Pourtant à force de tirer dessus, je parvenais chaque jour un peu plus à le démêler. Jusqu'au jour où je reçu un message qui me donnait rendez-vous dans un parc au milieu de la nuit et qui me disait avoir des informations pour mes recherches.
Sans hésité j'ai pris mon manteau et je suis sortis rejoindre l'inconnu.

C'était une inconnue en fait. Cheveux noir, yeux bleu et voix de velours. Elle m'a regardé arrivé sans prononcer de mot puis m'a regardé droit dans les yeux.

- Ethan McLawen ?
- Oui, qui êtes-vous ?
- Ça n'a aucune importance. Ce qui en a, ce sont vos recherches. Ecoutez Ethan, les personnes pour qui je travaille n'aiment pas ce que vous faites. Pas du tout. Elles se sentent menacée. Et quand un homme est menacé, il menace en retour. Me comprenez-vous Ethan ? Vous feriez mieux d'arrêter.

J'ai éclaté de rire. Cette femme certes belle, mais surtout frêle osait me menacer ? Que comptait faire les gens pour qui elle travaillait ? Me tuer ? Cela m'importait peu à vrai dire, car je savais que Chloé m'attendait de l'autre côté de la porte des morts. Et je savais aussi que si celle qui avait été mon seul et unique amour avait été à mes côtés, elle m'aurait dit de ne jamais abandonner.
Jamais.

- Jamais.

« Ne jamais dire jamais. »

Trois coups toqués à ma portes qui me rappellent indéniablement les trois coups qui avait fait entrés Chloé il y a 27 ans dans ma classe et dans ma vie. Je ne me souviens plus de l'heure ni du jour, j'ai enfoncé cette date atroce dans mon esprit. Emprisonnée, noyée pour oublier. Mais nous devions être en 2008, vers le début d'octobre.
Me rappeler ce jour me fait si mal...
Deux policiers se tenaient de l'autre côté de la porte avec le même air gêné et désolé qu'avait la jeune femme blonde qui nous avait annoncé la condamnation de Chloé. Ils n'osaient pas ouvrir la bouche, mais ils n'en avait pas besoin. Pas vraiment. En moi je savais déjà ce qui c'était passé. Mais dans un espoir fou, quelques mots se frayèrent jusqu'à ma bouche :

- Que se passe-il messieurs ? Je peux vous aider ?

Le plus jeune des deux a fait un pas en avant avant de me répondre.

- Ethan McLawen ? Nous sommes là pour vous parler de votre fille, Lily.

Et là les nouvelles se sont enchaînées. Lily avait été retrouvée, la gorge ouverte et une expression de surprise sur le visage. "Un animal sauvage, sans doute un loup" avait murmuré le policier sur un ton désolé. Il avait ajouté que le médecin légiste avait retrouvé une plume blanche dans ses cheveux, sans doute une plume d'oiseau ce qui leur avait paru étrange.
Mais pas à moi.
C'était un message.
Et dans l'encadrement de la porte de mon appartement, je me suis effondré, réalisant que Chloé était entré dans ma vie comme son dernier souhait en était sortit. Par trois petits coups toqués à la porte. Trois petits coups toqués sur mon coeur.

« Le dos toujours appuyé au petit bouleau, Ellana ferme les yeux.
Edwin mort.
Salim mort.
Ewilan morte.
Destan...
Destan disparu.
Pour la première fois de sa vie, Ellan s'avoue vaincue.
Abandonne.
S'abandonne. »

Lorsque j'ai revu ma fille, c'était dans une boîte en bois clair. Mes mains ont effleuré son visage a jamais figé dans la mort et d'un doigt j'ai tracé ce sourire que plus jamais je ne verrai sur ses lèvres. Puis la boîte a été fermée. Puis la boîte a été enterrée. Mais pas mes souvenirs, mais pas ma douleur.
Et à la sortie du cimetière, alors que des prétendus amis tentaient de m'apporter leur soutien, un homme inconnu s'est dirigé vers moi. Mais lorsqu'il a murmuré le mot "Famille", je lui ai demandé de partir, je ne voulais plus jamais en entendre parler. Eux qui m'avaient ôté ma dernière raison de vivre... Mais l'homme a insisté. Il m'a retenu, ma parlé de rebelles... Je n'ai rien dit, me contentant de l'écouter, sans fuir, sans commenter. Alors l'homme m'a présenté ses condoléances avant de me serrer la main. Une main qui contenait un papier qui s'est alors retrouvé dans la mienne.
Il n'y avait rien d'autre qu'une adresse dessus.
Et un peu d'espoir.

« La mort.
Douce et confortable mort.
Mort paisible qui vole en éclats sous l'irrésistible
assaut de la mémoire.
Elle ouvre les yeux, s'assoit, chancelle... Achève
de ne pas être morte. »

Les Rebelles.
Ma nouvelle raison de vivre.
Associer à un mot que je ne connaissais pas jusqu'alors.
Vengeance.

Jamais je n'abandonnerai.



Autre : Rien d’autre je crois…

HJ: Ou avez-vous connu le forum? Je suis Ran =D
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MessageSujet: Re: Ethan McLawen Ethan McLawen EmptyDim 20 Nov - 3:49

Raaaan ! =D C'est juste géant <3
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MessageSujet: Re: Ethan McLawen Ethan McLawen EmptyDim 20 Nov - 4:05

Accepté avec applaudissements =)
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MessageSujet: Re: Ethan McLawen Ethan McLawen EmptyDim 20 Nov - 5:52

ouai, bravo!!! =)
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Maël Naeëlios
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MessageSujet: Re: Ethan McLawen Ethan McLawen EmptyDim 20 Nov - 6:26

Ah Raan =) ! Bravo pour ta fiche *o*
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MessageSujet: Re: Ethan McLawen Ethan McLawen EmptyDim 20 Nov - 6:37

Waw, re-bienvenue Smile
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MessageSujet: Re: Ethan McLawen Ethan McLawen EmptyDim 20 Nov - 6:45

chuuuut dites pas son nom tout fort, on pourrait deviner sa vraie identité! Wink
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Luna Petite
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MessageSujet: Re: Ethan McLawen Ethan McLawen EmptyDim 20 Nov - 8:04

Rebienvenuuue Very Happy
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