I – Identité
Nom : Weg (prononcer Vek)
Prénom : Qin (prononcer Kine)
Age: 17 ans
Famille/Clan : Métamorphe (rat)
Nationalité : Franco-Cubain
II - Descriptions :
Description physique : 7 lignes minimumQin est de taille moyenne, sa peau est matte et ses yeux d'un vert émeraude. Ses cheveux noir sont ramenés hors de son front par un lambeau de sa chemise ensanglantée. Ils sont aussi fort long et bouclés. Une longue et fine cadenette pend de dessus son oreille gauche. Selon l'expression consacré, Qin va nu-pied, le tout par commodité de transformation, il n'était pas rare avant, qu'il se retrouve coincé dans sa chaussure gauche. Il porte généralement des vêtements amples, de sorte à pourvoir rapidement se mouvoir, une vielle habitude de sa vie clandestine. Une chemise déchirée, originellement blanche et désormais dépourvu de quelconques boutons recouvre fort souvent un t-shirt qu'il aime à porter rouge. Ses jambes sont pourvu généralement d'un pantalon de fine toile, noir, gris ou hypothétiquement blanc. Sur sa hanche gauche, pend un sac de toile où se trouve la totalité de ses possessions, vestimentaires ou non. Enfin, à son cou pendent une ribambelle de collier en tout genre. Une Œil de bœuf, une étoile à cinq branche, que sais-je d'autre ?
Description de caractère : 7 lignes minimumQin sais ce qu'il veut. Sachez le, cela prendra quelques heures ou quelques décennies, mais Qin emportera dans la mort les victoires qu'il désire emporter. Il écoute, parle quand il faut, et sais plus que beaucoup, par simple écoute. Sa forme de transformation n'est pas tel par hasard. Elle à, aussi longtemps qu'il se souvienne, toujours été tel. Il écoutait dans les cuisines plutôt que de venir y manger.
Il parle trois langues de façon courante. L'espagnol, apprit dehors, à l'écoute des gens dans la rue. Le français, apprit dans ce lieu où il est né et à grandi... L’Allemand, enfin, que son frère lui à apprit.
Dans sa tête, entre ses oreilles, retentissent tant de rimes et de vers, il aime la poésie. Dans sa besace est un carnet aux pages jaunies sur les quelles court des lignes et des lignes de prose.
III - Histoire :
Histoire : 15 lignes minimumIl s'appelait Qin. Qin Weg. Il avait passé son enfance captif dans un centre non loin de Santa Clàra. Ce centre était illégal et non-gouvernemental. Il le savait. Tout d'abord car on y parlait français, ensuite car personne dans le centre ne savait où il se trouvait -il le savait car il l'avait mainte fois quitté sous sa forme transformée. Ensuite car on y menait des recherches sur les internes que les moyens du régime ne pouvaient assurés...
Il n'était pas rare, en effet qu'un interne tombe malade et ne revienne que sous plusieurs mois. Un jour, il était tombé sur l'un d'entre eux. Étendu sur un lit, sous perfusion et autres soins démesurés pour si peu... Sur la plaquette, à l'arrière de son lit, était écrit :
''Recherche sur les capacités Alaviriennes, Familiales et autres mutations.
Bureau 738, recherche spécifique de mutations à caractères dessinés.
Sujet n°2542 : Membre de la famille : Mnésique.''
Ses parents lui étaient inconnus. Son frère ne les avaient pas connu lui même. Il avait du ce contenter d'un ''Weg'' comme nom de famille. L'explication du personnel du centre était qu'ils avaient été placés dans cet ''orphelinat'' par des amis de leurs parents à la mort de ceux-ci.
Cela ne collait pas. Cela transpirait le mensonge. Son frère avait six ans de plus que lui. Il aurait dû posséder quelques souvenirs d'avant. Ensuite car son frère atteignant la majorité n'avait quitté le centre, mais avait été transféré dans un sombre ''quartier adulte''.
C'est ici qu'il avait passé quatre-vingt dix pour-cent de sa vie. Entre quatre murs. Son frère l'avait élevé, puisqu’il n'aurait pas fallu compté sur le ''personnel''. Ils étaient restés ensemble jusqu'à ses 12 ans. Après quoi, son frère atteignant 18 ans avait été séparé de lui. Ils ne c'étaient pas revu.
Il avait très vite découvert qu'il possédait un don de métamorphe. Il avait alors répondu à la plus grande question de son frère, à savoir, où se trouvait-il ?
Par la suite, par le jeu du hasard, au grès des conversation épiées et analysées, ils en avaient plus appris sur leurs origines.
Né d'un père cubain ayant servi dans la révolution sous les ordres d'El Commandante en personne et d'une mère française, tout deux appartenaient à une mystérieuse famille nommé Métamorphe. Pour des raisons obscurs, son frère n'avait été investi des pouvoirs de la dite famille.
Un jour, trois ans après les 18 années de son frère, ses escapades avaient cessé de passer inaperçu. Eux deux savaient. Savaient où était le centre, ce qu'il recherchait... Ils savaient tant de choses. Trop de choses. Leur exécution eut lieu quelques jours plus tard. Devait, avoir lieu. Ils réussirent in extremis à fuir et à gagner la brousse. Là, ils avaient, quelques jours durant échappés aux arcadiens lancés à leurs trousses par le centre. Une nuit sans lune cependant, trois nuit après leur fuite, un lycan s'agrippa à ses côtes, les lacérant puissamment. Son frère le repoussa puis se livra à la bête, ordonnant à Qin de fuir tant qu'il pourrait.
Les mois suivant, Qin les passât à errer ici et là. A l’écart des villes et du centre. Un matin, il rencontra un vieil homme au grès de son chemin qu'il ne connaissait pas lui même. Cet homme mentait. C'était, selon ses dires, un guide. Mais un guide n'est jamais perdu dans la brousse, ni nul part ailleurs. Mais peut importait, lui qui ne lui offrit jamais son nom avait connu ses parents. Il lui apprit ce qu'il ne savaient pas sur les familles, lui confiant que la dernière fois qu'il avait vu sa mère, dans une ville française dont le nom lui avait échappé, elle était encore bien vivante.
Le soir, il était repassé sur la colline qui avait vu la mort de son frère entre les arbres. Après deux ans, son corps n'était plus que quelques os épar. Seuls restaient quelques colliers sur ses restes d'émails, un rien dans ce que fut son frère. Qin s'en chargea le cou. Se levant, il trancha la paume de sa main et laissa le sang coulé sur l'amas informe à ses pieds. Il s'en alla une fois que le feu eu pris le corps et que celui-ci n'ai été fait plus que de cendres. Se retournant, il trébucha. C'était celui du lycan. Ainsi son frère l'avait tué avant de, certainement, succombé de ses propres blessures... Dans la pattes du monstre, un morceau de tissu. Un morceau de sa chemise. Il s'en saisit, et rapporta ses cheveux qu'il avait désormais mi-long, hors de son front. Puis, triste trophée, ce saisit de sa patte et lui arracha sauvagement la griffe du pouce. Il l'attacherait plus tard au bout d'un collier quelconque, venant compléter sa lourde collection.
Sa décision était prise. Il quitterait l'île se soir. Quelques jours qu'il avait gagné La Havane, passant par Santa Clàra, saluant une dernière fois les cendres du Che dans son mausolée. Quelques jours qu'il étouffait, et quelques heures que l'odeur du lycan flottait dangereusement dans l'air. Il partirait pour les US, en passager clandestin. Là, il gagnerait plus ou moins légalement, l'Europe, à la recherche de sa mère dont on lui avait conté l'histoire. Il lui manquait quelque chose cependant. Il déambula durant les heures fraîches de l'après midi dans les rues et ruelles du vieux havane. C'est finalement sur le port qu'il trouva se qu'il cherchait. Sur un étalage à babiole pour touriste en manque d'imagination, une étoile à cinq branche, la même que celle du béret du commandante.
Il débarquât au Havre le 14 septembre d'une année dont il avait oublié la terminologie exacte.
Il s'appelle Qin. Qin Weg. Et il cherche sa mère, sa famille, ses origines. Une larme glisse sur sa joue, bientôt emporté par le vent. Il bondit sur la terre ferme et quitte sa forme humaine. Se faufilant entre les pieds pressés de ses hommes et de ses femmes. Le présent est sien. Le Passé, fertile ou futile. L'avenir, vierge.
Autre : Avatar en cours, vraiment désolé...
Aussi, il me semble avoir tout bien lu, concernant les règles, cependant, nul part je n'ai vu un endroit où noter un ''Lu et approuvé''... P'têt que j'ai mal lu...
HJ: Ou avez-vous connu le forum? Guidé par le Hasard, un gars qui fait bien les choses dirait-on...