Porte Des Mondes

Age :

18

Famille/Clan :

Une Famille! Pouah! T'es fou toi!

Nationalité :

Française

Description :

Physique Un visage rond, encore un peu enfantin, les yeux bleus en amande, les cheveux bruns. Un peu ronde, plutot petite. Je suis peu sportive mais assez endurante. Pas de style vestimentaire particulier, je porte ce que j'ai dans ma garde robe, en essayant d'être discrète. Sur le bras, un tatouage que j'ai fait inscrire après avoir découvert que personne ne pouvait voir Athan. " Je te vois" Entre mes yeux se forme un petit v quand je me concentre ou que je suis proche d'une cible. Une sorte d'expression de mon attention sur quelque chose. Ce qui n'es pas facile quand Il passe son temps a me distraire. Un petit tics; j'ai tendance souvent jouer avec ses mains. Je les croisent, je les superpose, les agite, ... Ça amuse beaucoup Athan, ce qui ne m'aide pas a arreter. Rarement de bijoux, pas pratique. Toujours une arme à feu, efficace. J'ai appris à m'en servir seule, et je n'en suis que plus sure de moi. Caractère Avant, on me disait que j'était une fille souriante, joyeuse. Que j'aimais rire d'un rien même si j'était trop têtue. Maintenant, on me dit que je suis folle. Que je voit des fantome et que je parle seule. Ce n'est pas de ma faute si ils ne Le voient pas. Pourtant, il est la, je le sais. Du coup, je rit avec lui, je joue et je chante avec lui. Avec les autres, je suis un peu mefiante. Parce que si ils ne voient pas Athan, en revanche ils n'ont aucun probleme pour voir les gestes que je fais pour lui, avec lui. Ni pour entendre ce que je lui dit. Donc j'évite de parler avec les autres, d'être avec eux quand Il est là. Et quand je le fais, il y aune lueur triste qui s'allume dans ses yeux, alors je pars vite pour lui parler. Il n'aime pas être seul. Je l'aime tellement que si il mourrait, je pourrait le recreer avec tout ce que je sais sur lui. [/color][/font]

Histoire :

Albane ferma les yeux. L'instant était parfait; les oiseaux chantaient doucement, l'air était doux, le vent chantait, ... Athan lui sourit. Deux ans qu'ils s'étaient rencontrés, deux ans qu'il l'aimait de tout son coeur, de toute son âme. Sans jamais rien lui dire, sans jamais en parler. Peut-être par peur de détruire une si belle amitié, ni l'un ni l'autre n'avait cherché plus qu'un ami chez l'autre, gardant secrets leur sentiments. Ils s'étaient tout dit. Leur vie, leur souvenirs les plus lointains, leurs rêves les plus fous, leurs secrets, leurs goûts, leur caprices, ... Tout sauf cet amour mutuel. Pour la famille d'Athan, elle savait. La Famille, comme il disait, avec une majuscule qu'elle avait finit par comprendre. Elle n'avait pas eut peur la première fois qu'il lui avait montré. Il pouvait aller plus vite, aller plus loin, être plus fort. Il aimait sa Famille, les Cogistes, mais cherchait la normalité. Albane, avait mis du temps à comprendre qu'est ce que le jeune homme aimait chez elle. Elle n'était pas belle, pas mince, n'avait pas de pouvoir, n'avait pas de grand yeux, n'était pas un genie, ... Il avait fallut qu'il lui répète plusieurs fois pour qu'elle commence à comprendre. Mais n'en n'était toujours pas certaine. Et puis hier, il lui avait donner rendez vous ici, dans sous cet arbre perdu dans un pré d'herbe fraîche. Sans une hesitation, sans se poser de questions elle était arrivé a l'heure dite. Il était la. Elle se rendit compte combien elle tenait à lui, et tout le bonheur qui leur restait à vivre. P Près de l'arbre, ils s'étaient assis. Deux ans à s'apprendre, et plus rien n'avait besoin d'être dit. Albane ferma les yeux, Athan lui sourit et se pencha son visage vers celui de la jeune fille. L'instant était parfait, blottie dans les bras du Cogiste Albane sentie son coeur s'emballer. Leurs visages s'approchèrent, leurs coeurs s'unirent. Athan s'écroula. - Athan! Athan! Non, non, non! Athaaaan! Albane se releva quand arrivèrent les hommes en noirs. Leur voiture était restée sur le bord de la route, là où ils avaient tirés. Elle ne dit rien quand il s'approchèrent de son corps, écoutèrent le silence d'un coeur arrété trop tot, tirèrent à nouveau. - Meurs, Cogiste. Ils repartirent, comme si elle n'avait jamais été la. La laissant seule avec sa douleur. Quand la voiture fut partie, Albane n'avait plus de larme à verser. Elle rentra dans son studio, se coucha et dormit. - Albane. Albane. J'ouvrit les yeux. Il était là, comme il l'avait toujours été. Athan. - Athan? Oh mon dieu, j'ai eu si peur! J'ai cru, j'ai cru... - Ne dit rien, je suis la. Je t'aime. Je ne partirais plus. Jamais. Le printemps rayonne, le soleil brille. A paris, ce Dimanche, une jeune étudiante sort de chez elle riant au telephone. Au téléphone? Non, elle n'a pas de téléphone à la main, ni d'oreillette. A qui parle-t-elle? - Le café saint jacques? Mais Athan, tu sais que je ne supporte pas leur croissants! Non, non, hors de question. Ah, oui pouquoi pas, mais après on ira faire un tour au quartier latin. Tope la. Elle tend sa main dans le vide, la referme sur une main invisible qu'elle sert fort. Sixmois plus tard -Il n'existe pas! Je t'en prie Albane, arrête avec ton Athan. Lena hurle. Elle a rencontrer Albane il y plus de cinq mois. Et à finis par comprendre. Albane est normale, agrèable a vivre, joyeuse, et ... folle. Elle s'imagine un petit ami, Athan. Et elle n'en peut plus de sourire à un être invisible, de voire son amie parler toute seule... - Ils t'ont pris ton apparence, Athan. Je suis désolée, je ne savais pas. - Qui? - Les hommes en noirs - Oh, ceux qui ont essayer de nous séparer. Les Familles. - Oui, maintenant tu n'existe que pour moi. - Tue les. Tues les Albane, et je reprendrais mon corps aux yeux de tous. - Les tuer? Mais... Il a finit par me convaincre. Je l'aime tant, il à le droit de vivre comme tout les autres, de rencontrer des gens, de leur parler, ... Je les tueraient tous, et après je vivrais tranquille avec Athan. Je l'aime tant. Maintenant, je tue. Mais pas n'importe qui, juste ceux des Familles, ceux qui ont voler le corps d'Athan. Je ne me frote pas aux trops gros morceaux, je connais mes limites et surtout leurs capacité. Je tue les vieux, j'evite les sang purs trop puissants. Je finirais pas tous les éliminé et je rendrais Athan visible à tous. Et plus je les traques, plus je m'aperçoit des horreurs qu'ils font. Du monde qu'ils piétinent sous prétexte que nous ne somme pas des Familles. Athan trouve ça normal, pas moi. Mais bon, ce n'est pas grave. Je l'aime.

Disponibilité :

Pas pour le moment...