Nom: Silva Prénom: Elena Age: 15 ans Famille: Bâtisseuse Nationalité: Cambodge
II - Descriptions :
Description physique : 7 lignes minimum
Svelte et environ 1 m 65. Elle a des yeux fins couleur cobalt en temps normal, et lorsque qu'il faut mauvais temps, qu'elle est en colère ou stréssée, ses yeux deviennent gris (c'est pas bon digne dans ce cas là). Son regard peux être admirable, gentil et attentioné ou au contraire méprisant et froid, glacé.
Des longs chevaux noir très très legèrement ondulés tombent dans son dos ou sur ses épaules quand elle n'es ni a cheval ni en train de faire du sport, rarement attachés. Un bijou (le seul qu'elle a et elle ne l'elèvera jamais) est placé sur son front une pierre verte incrustée au milieu des attaches dorées, c'est la seule chose qui lui reste de sa mère.
Plutôt sportive, elle aimait les montagnes et les plaines ou elles passe des heures à galoper et a grimper aux arbres et elle en revenait très souvent avec des égratinures ou petites blessures auquelles elle ne prête aucune attention.
Une cicatrice d'une dizaine de centimètres barre sa hanche droite.
Description de caractère : 7 lignes minimum
Têtue comme on n'en trouve nul par ailleur, dès que Elena a une idée en tête elle ne la lachera pas, elle ira jusqu'au bout de ses promesses de ses missions, de ses devoirs....
Si elle rêve de connaître le monde entier(en commencant par l'Amérique du Sud^^)elle est trop ambissieuse et elle le sait. La vengence est sa première promesse et elle donnerait tout pour qu'elle s'accomplisse, même sa vie à moins que quelqu'un dont elle ignore encore l'importance survienne... Elle voit les autres comme ils sont avec leurs qualitées et leurs défauts. Elle reflechi a deux fois (ou trois) avant de prendre une décision et ne reviens pas dessus.
Courageuse, elle n'a pas peur pour un rien et elle est trop curieuse . Ces deux qualitées/défauts aurotn vite fait de lui attirer des ennuis masi pour le moment elle ne s'en soucie pas.
Elle a malheuresement du mal à pardonner les autres, ne donne pas facilement sa confiance a quelqu'un et ne laisse personne d'autres que elle décider de son destin.
III - Histoire :
Histoire : 15 lignes minimum
-Elena -Sa mère -Son père -Sa mère adoptive -Son père adoptif
"Bâtisseuse." Un mot. Un pouvoir. Une Famille. Une vie.
~°~*~°~
(Elena a 12 ans):
-Elena!
Une voix retentit, un appel... Sans perdre un instant, Elena sauta de sa branche depuis laquelle elle scrutait l'horizon, et atterrit sur une autre, trois mètre plus bas. Sa jument noire comme la nuit l'attendait au pied de l'arbre ou elle broutait paisiblement de l'herbe gorgée d'eau. En une minute Elena arrive à la hauteur du dos de son cheval et saute dessus avec souplesse et élégance.
-Allez Ténébreuse, ne les faisons pas attendre cette fois-ci.
La jument poussait un long hennissement avant de s'élancer. La jeune fille était aux anges, le vent s'engouffrait dans ses chevaux les faisant voler, son visage était caressé par la brise. Depuis plus de 9 ans Elena vit une vie paisible et heureuse au Cambodge pas loin d'un village du nom de Orrazit longeant un fleuve immense fleuve. Une vie des plus paisibles, seulement, le bonheur n'est pas toujours éternel...
-Elena
La voix retentie une deuxième fois. Lorsqu'elle arrive, après avoir ôté le licol de Ténébreuse elle le suspend à une branche et s'approche de ses parents. Sa mère était plutôt belle, la chevelure noire les yeux de marbre elle était vêtu d'une robe bleu en tissus la regardait d'un air pensif tandis que son père, les cheveux court et brun était vêtu de vêtements de cuir noir qui mettait en évidence ces magnifique yeux azur dont sa fille avait hérité.
-Que ce passe-t-il ?
Cette dernière avait prononcé ces mots avec une voix anxieuse. Ce fut son père qui lui répondit d’une voix calme et posée:
-Elena te rappelles-tu des histoires sur les Familles ?
Sa mère fixa Elena d'un regard presque triste. Elena la regarda puis son père avant de prendre la parole à son tour:
-Oui. Comme si hier encore vous me les racontiez. Comme si je m'endormais en rêvant de ses fabuleux pouvoirs. Comme si je les connaissais tous par cœur.
Elle aimait ces histoire que sa mère racontait pour elle ou que sont père décrivait en détails Elle prit une profonde inspiration avant de continuer d’une voix calme:
-Pourquoi êtes vous tendus, vous qui êtes à l'ordinaire si calme ? Une maladie menace les chevaux? Ou le Ranch ? Aurais-je commis une grave erreur ?
Son père reprit la parole, toujours avec le même ton, qui l'avait tant de fois rassurée, ce ton qui chantait pour elle:
-Rien de tous ça mon trésor. Mais je crains que cela ne soit pire. Depuis ta naissance nous redoutions ce jour, celui pendant lequel ton existence sera bouleversé.
Son père s'arrêta les yeux dans le vide pensant au passé, incapable de continuer son récit. Les larmes aux yeux sa mère continua à sa place:
-Oh, ma chérie... Nous n'avions pas d'autre choix que de ne pas te révéler toute la vérité. Nous voulions que tu grandisses dans la paix et le bonheur. Mais comme tu le sais, tout a une fin.
Elena, de plus en plus tendu s'assis en face de ses parents qui ne la lâchait pas du regard puis d'un voix qu'elle voulait plus sûr prononça trois mots, trois flèches qui se plantèrent dans le cœur de ses parents:
-Qu'elle vérité ?
Voyant que sa femme ne pouvait pas prononcer de mots pour le moment ce fut son père qui répondit à sa fille:
-Tu as surement remarqué que tu apprenais vite ne me voyant ou en voyant ta mère faire les choses. Je me trompe ?
Elena, dont les yeux étaient devenus d'un gris pâle, voulut répondre mais déjà, il poursuivait:
-Tu aime la nature et tu la comprends, tu parle au Nuages et joue avec la Rivière, son aime sentir les rayons de Soleil s'infiltrer sous tes vêtements pour les sentir sur ta peau. Tu aime la nature, tu es la Nature. Tu es différente des autres enfants que tu connais. Seulement, tous le monde ne sait pas ressentir ce que tu ressens, certaines personnes ne se contente pas d’une vie heureuse et tranquille. Des personnes qui recherchent le pouvoir.
Ce dernier mot avait été prononcé avec de la haine et du regret. Le silence s'installa, plus un bruit à l'excepté de ceux que font les oiseaux lorsqu'il chantant et des doux hennissements des chevaux. Silence pendant lequel Elena médita les paroles de son père. Silence pendant lequel sa mère de sécher ses larmes. Silence qui fut brisé par la jeune fille:
-Pourquoi me parler des Familles aujourd'hui ? Vous me racontiez des histoires imaginaires à propos d'elles, puis un jour vous avez décidez de ne plus en parlez. Pourquoi cette histoire de pourvoir est-t-elle importante pour nous ? Pourquoi cette tristesse dans vos regards ? Cette peine ?
Son père regarda intensément sa femme qui le lui rendit comme un accord. Comme si le destin de leur famille se jouait. Aujourd'hui, ce soir, cette minute. Puis il se leva et en pesant chacune des ces phrases, chacun des ces mots, chacune de ces lettres dit d’une voix tendre:
-Trop de questions à la fois. Trop de réponse à la fois. Ce soir, tu as le droit à une question jeune fille ... Ce soir tu as le droit à une réponse mon cœur.
Ce fut sur ces mots qu'il se retira, d'une démarche des plus souples, agiles à en faire rêver le monde. Une démarche magique. La démarche d'un ange, son père.
Elena, soumis annonça simplement à sa mère.
-J'ai choisie ma question.
Sa mère s'était détendue et d'une voix qui marquait son assurance elle dit:
-Je t’écoute.
-Pourquoi me parlez-vous des histoires sur les Familles ? Il y a plus de 4 ans que vous avez décidé de les laisser de cotés. Pourquoi ?
-Pourquoi est un mot si vaste... Les histoires des Familles nous concernent puisque elles ne sont pas totalement fausses.
Voyant que sa fille allait prendre la parole elle enchaîna:
-Non. Ne dit rien, je vais répondre entièrement. Ensuite tu pourras me poser des questions auxquelles je ne répondrais pas ce soir. Oui, les sept Familles existent. Elles sont toujours aussi puissantes, elles sont en guerre et ne se considèrent pas comme égales, certaines veulent le pouvoir. Nous en parlons parce que nous devons te révéler la vérité. Nous en parlons parce que nous devons te dire ce qui coule dans tes veines, ce qui coule dans ton sang. Te dire pourquoi tui es exceptionnelle.
Elena resta coite, puis s’éloigna de sa maison à grand pas pour se retrouver sous un arbre. Qu’est ce qui pouvait couler dans son sang ? Non elle ne devait pas y penser sans quoi, elle ne dormira pas de la nuit. Et elle voulait être en pleine forme demain. Demain, pour poser des questions à ses parents et ne les lâchera pas tant qu’elle n’obtiendra pas assez de réponses pour combler le vide qui s’était creusé en elle. Puis après s’être apaisé, elle regagna son lit en silence, non sans être passé devant Ténébreuse et lui avoir soufflé quelques mots de bonne nuit.
~~
Alors que le soleil se faisait attendre, la jeune fille aux cheveux noirs se faufilât en silence hors de sa maison. Surprise, elle remarqua que son père et sa mère n'étaient pas comme, à leur habitude en train de discuter autour de la table sous le vieux chêne. Leurs chevaux maquant à l'appel, Elena brida Ténébreuse et entreprit de partir à la recherche de ses parents pour leurs poser les milles et une question qui lui trottaient dans la tête. Elle découvrit ses parents au bord du fleuve, sous un arbre aux feuilles dorées, qui discutaient, la même expression peinte sur le visage que la veille. Inquiétude. Son père qui l'avait entendu venir se leva monta sur son cheval et attendit que sa femme fasse de même, puis trotta jusqu'à Elena et lui dit: -Cette nuit, tu n'as pas dormi. Maintenant, je vais répondre à tes questions, mais avant tu vas venir avec nous.
Après un regard interrogateur à son mari, la mère d'Elena parti au galop en direction de leur maison. Vite rejoint par la fille et son père, elle souriait au vent pour masquer son inquiétude.
Direction de la maison ? Non. Sa mère se dirigeait vers l'Arbre. L'Arbre d'Ailleurs. Son père l'avait baptisé ainsi. Et avait maintes fois dit à sa fille que cette race d'arbre ne poussait nulle part ailleurs que dans ce coin de leur terre. Cet arbre était le seul... Vraiment ? Elena remarqua que plus sa mère était proche de l'Arbre, plus elle se détendait. Son père, lui, gardait son visage inquiet. C'était la première fois que la jeune fille s'approchait autant de l'Arbre d'Ailleurs. Elle sentie soudain un appel. Un appel si fort et si doux à la fois. Un appel si évident et si impossible. Un appel irrésistible, celui d'Ailleurs... Sans chercher à comprendre elle se mit à courir et ne s'arrêta à seulement cinq centimètres de l'écorce de l'Arbre.
C'est la qu'elle la vit... la porte ! Une magnifique porte, invisible aux yeux innocents elle se clamait à Elena. Sans réfléchir elle pose la main sur la poigné et ouvre la porte. La Porte. Elle s'ouvrait sur une grande salle. Une grande salle avec plusieurs autres portes, pareilles à celles que la fille venait d'ouvrir. Alors qu'elle entrait dans la pièce, elle sentie une paix immense entrer en elle. Elena se sent si bien... Tellement bien qu'elle se sent chez elle, libre à jamais. Libre... Tel un oiseau qui monte toujours plus haut... Tel un fauve qui se coule sans bruit dans les hautes herbes... Tel une souris qui s'enfui, rapide et vivace... Tel un pachyderme qui ne peut être capturer... Tel le temps qui s'écoule selon ses envies... Pourtant elle n'est rien de cela.
-Vas sur la Terrasse.
Aucune menace dans la voix de la femme, seulement une certitude, un ordre sans appel. Sa fille couru sans comprendre où elle se rendait, elle ne comprenait pas... elle savait. Quelques temps plus tard Elena se tenait devant une étendu d'herbe. De l'herbe de tous les côtés, de l'herbe à perte de vue. De l'herbe vert, calme et inoffensive... Vraiment ? Comme si il avait lu les pensées de sa fille, l'homme répondit: -Elle détruit tout, objets, matériaux, os... Rien n'y échappe. Maintenant que tu as vu, nous allons répondre à tes questions et nous rentrerons au village.
Il regarda sa femme, qui se contenta de regarder sa fille qui s'émerveillait, puis prit la parole au bout de 3 minutes : -Tu appartiens à une Famille Elena. Je crois que sais déjà laquelle vu la facilité étonnante avec laquelle tu as trouvé la Porte.
-Je...je...je suis une Bâtisseuse ?
-Oui tu es une Bâtisseuse ma fille, comme ton père et moi. Dans ton sang coule le pouvoir des Portes, puisque se sont des Bâtisseurs qui ont construit la Maison d'Ailleurs.
-Et les autres Familles ? Que sont-elle devenues ?
-Elles sont toujours puissantes, comme je te l'ai dit hier, mais certaines comme les Métamorphes et les Guides comportent plus de membres. Les Familles veulent le pouvoir. Depuis longtemps les Familles sont en guerre et nous avons réussis à nous dissimuler jusqu'ici mais rien n'est éternel, les Familles ont finis par retrouver nos traces et ne vont pas tarder à arriver jusqu'à nous. Si tu veux être le plus en sécurité possible, tu dois savoir ce qui se passe.
Elena la regardait, en buvant ses paroles. Voyant que sa femme ne continuait pas, son mari prit la parole à son tour:
-Ce qui se passer n'est pas joyeux, si nous ne voulons pas faire la guerre, il nous faut nous cacher.
Sa fille cracha avec mépris: -Nous ne devons pas nous cacher ! Nous ne sommes pas des criminels, nous n'avons rien commis de mal. -Non, c'est vrai, tu n'as rien fait de mal, mais nous, tes parents avons tuer, plusieurs fois, trop de fois même, mais le bonheur n'était pas loin de nous... alors nous avons tuer pour l'avoir. Mais nous en sommes malheureux, nous n'aurions pas du tuer. Tuer... Un mot, un poignard qui se plante dans le cœur, un nombre innombrable de personne dont une parti du cœur meurt. Ne tue jamais Elena, jamais... Ne tue jamais, mais vit. Vit longtemps. Je t'aime.
Elena était stupéfaite, comment ses parent avait pus tuer rien que parce qu'il croyait qu'ils seraient heureux après ça. Sa mère, d'accord avec son mari approuva d'un hochement de tête.
-Je tuerais si je le dois, même si je n'en ai aucune envie. Je vivrais si je le dois. Mais vous ne pouvez pas me dire, vous, mes parents que vous avez tuer, et puis me dire, dans la phrase suivante que je ne dois pas tuer. Je n'arrive pas à y croire.
Sans dire un mot de plus, Elena tourna les talons et marcha furieusement. Elle prit la direction opposée à celle par laquelle elle était arrivée dans la Maison d'Ailleurs.
Il faisait déjà nuit lorsque l'ombre d'Elena se glisse en silence dans la maison. Elle entendit un murmure depuis la chambre de ses parents. A cette heure-ci, en temps normal, ses parents dormaient déjà. Mais Elena savait qu’ils ne dormaient pas, ces temps-ci étaient tout sauf normaux. Elle alla donc se glisser dans son lit et s'endormit quelques heures plus tard.
"Tu es une Bâtisseuse...Dans ton sang coule le pouvoir des Portes. Nous avons tué... tué. Ne tue jamais Elena, jamais... Bâtisseuse"
~~
-Non !!!
Un cri. Un mot. Une larme roule sur la joue d'Elena. -Non...non...
Le cri devient un chuchotement puis s'éteint. La jeune fille qui son refuge avec hâte, puis se dirige vers la chambre de ses parents. Il est tôt, et ses parents dorment. Vraiment ? Si on considère que la mort est un sommeil alors oui, ils dorment. Un feulement rauque monte de la gorge d'Elena :
-Non.
Immobile, elle contemple la scène de carnage qui s'offre à elle; Ses parents gisent entrelacés dans le sang, dans leur sang. A part sa, aucune trace de lute, les adversaires avaient étés rapides. Très rapides, cinq minutes plus tôt, la jeune fille, ne parvenant pas à retrouver le sommeil, s'était tiré hors de son lit pour s'abriter sous l'Arbre d'Ailleurs. la puissance qui émanait de cet Arbre était apaisant pour Elena. Lorsqu'elle avait entendu un bruit, un hurlement elle s'était précipitée, mais le mal était fait. Elle était arrivée trop tard. Elle hurle. Un cri qui vient du cœur. Un cri de mort... suivit de sanglots.
~°~*~°~
(Elena a 15 ans):
3 ans. 3 ans passés dans la souffrance. 3 ans passés à avoir des remords, des remords pour quoi ? Pour un évènement qu'elle n’aurait pu empêcher. Même si elle était arrivée avant qu'il n’a lieu. Remords. Elena ne pouvais s'empêcher de penser que ses parents étaient mort par sa faute, sa faute à elle, et pas leur faute. Le réveil, sonne la jeune fille détaille, comme chaque matin la pièce dans laquelle elle a passée la nuit; Une pièce où sont disposés un lit, un bureau, et une armoire. Une chambre. Elena a été adoptée par un couple qui n'a plus d'enfants. Elle peut obtenir tout ce qu'elle veut (ou presque), pourtant elle est malheureuse, ses nouveaux parents travail jour et nuit et elle ne peut leur parler de tous ses remords, eux dont elle avait besoins en arrivant chez eux. Il y a trois ans, des hommes sont venus chercher la jeune fille qui tait encore chez elle pleurant sur la tombe de ses parents, qui avait été construite par les habitants du village et sur laquelle elle avait bâtis un petit édifice. Bâtis. Pour la première fois de sa vie elle avait bâtis, bâtis pour ses parents, bâtis pour vivre et continuer vers le futur, pour laisser le passé derrière elle.
Elena se lève et s'habille, puis prend son petit déjeuner avec ses parents adoptifs comme chaque matin sa mère demande:
-As-tu bien dormis ?
Comme chaque matin elle répond en s'efforçant d'être poli: -Oui, merci.
Comme chaque matin, son père la prend avec lui dans sa voiture et l'emmène au Lycée et lui dit sur un ton amical: -A ce soir Elena.
Comme chaque jour, la jeune fille travailler, rentre chez elle. Comme chaque jour, ses parents ne sont pas encore, là elle va faire ses devoirs pour ne pas les décevoir et vas écrire. Elle vas écrire, Elena vas libérer tous les mots qui s'entassent dans sa tête depuis le matin, elle vas penser à ses vrais parents revoir leurs visages souriant, et surtout, la jeune fille vas maudire... Elena vas maudire ceux qui ont pris la vie de ses parents, si joyeux si heureux. Ceux qui on prit son bonheur. Les Assassins. La jeune fille va les maudire de toute son âme, de tout son cœur. Par leur faute, elle a tout perdu; ses parents, sa vie calme et dont chaque jour est différent, le Ranch...
Maintenant, elle vis dans un petit appartement, dans une grande ville polluée, sans arbre, sans verdure, une vie ou le mot "Bâtisseur" n'est rien pour les autres. Son pouvoir se tasse, tous les jours plus, il grandit... il grandit en elle. Une vie monotone... oui, mais pour longtemps ?
Autre : Parce qu'il a ouvert une porte en moi, Parce que il a tout donné, Parce qu'il me fait vivre, Parce qu'il est maintenant et pour toujours une étoile, Parce que ça sonne en moi comme une évidence, Parce que il est gravé dans mon coeur pour toujour,
Dernière édition par Elena Silva le Lun 31 Mai - 3:31, édité 1 fois
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Sujet: Re: Elena, Bâtisseuse... Mer 26 Mai - 8:34
Il y a un site très bien, qui s'apelle 'Last event'. Go sur google..
C'était ça ta question ? Si tu cherches comment ajouter ton avatar, tu cliques sur profil, en haut, à gauche de MP et à droite de Groupes. Ensuite, tu cliques sur le sous-titre 'avatar'..
Invité Invité
Sujet: Re: Elena, Bâtisseuse... Mer 26 Mai - 9:43
Bienvenue (Eowin, nan ?) Good Luck pour la fin de ta fiche =)
Sujet: Re: Elena, Bâtisseuse... Jeu 27 Mai - 19:08
Bonjour,
Merci de finir votre fiche rapidement pour pouvoir commencer les RPs au plus vite.
Sinon votre fiche est très compète et dans les normes. Pour avoir un avatar et même une signature tu peux faire une commande dans la partie Graphique du forum.
Dernière édition par Elena Silva le Jeu 10 Juin - 4:23, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Elena, Bâtisseuse... Sam 5 Juin - 9:08
Qu'est ce que tu pense de ceci; Avec les jardins supendus de babylone (architecture) , le Beta grec (pour les Batisseurs, ancienne Famille), un livre (litterature et argumentation), un bemol (la musique), une figure geometrique (la geometrie), une porte (le don et la Maison dans l'Ailleurs).
Sujet: Re: Elena, Bâtisseuse... Jeu 10 Juin - 4:23
Désolée Orion
Mon histoire est fini avec beaucoup trop de retard et elle est nul donc je n'ai pas d'excuse, c'est inexpliquable(mis à part le fait que je met 350 ans à trouver une idée pour l'histoire).
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Oui c'était bien ç a ma question.
